Le "je-m'en-foutisme" ou rencontre accidentelle [libre]

( ta fini de te foutre de moi toi :p )

Samael:

Je m’améliore au niveau galanterie moi ! Néanmoins je reprend vite mon air habituel neutre et sérieux, j'avoue avoir légèrement rougis mais ça aussi, me passe vite.

Marchant le plus doucement possible je traverse le couloir de "l'accident " sans que cela me gêne. Et cette fois je fait attention de ne pas me prendre un coin de table !Pourtant la phrase " Attention transport de colis fragile" me trotte en tête et me fait même rire doucement.

( Nan surtout avec ton nouveau avatar ! XP )

Mia:

Je garde les yeux rivés sur lui, du moins sur sa nuque où il y a de petit cheveux et d'où un parfum se dévoile m’enivrant. Je l'ai vu légèrement rougir, mais je ne préfère rien dire, je trouve ça plutôt mignon et puis il m'aide déjà alors il a pas besoin que je le taquine alors que je suis un fardeau pour lui.

Je détourne le regard un peu me disant qu'il remarquerait au bout d'un moment que je le fixe en sentant son doux parfum.

( Il est génial d'abord ! )

Samael:

J'arrive enfin a la porte, je la pousse du pied droit pour l'ouvrir puis garde mon coude bloquer dessus pour passer. Lorsque que je la franchis, je me colle un peut plus contre ma petite protégée, dont j’espère ne pas avoir fait de mal.

Enfin sortit de la cafeteria et fixe Mia toujours avec neutralité. 

( ouais ouais ! :33)

Mia:

Quand il se colla un peu plus à moi, je déposai ma tête sur son épaule sans m'en rendre vraiment compte, gardant mes mains enroulé à son cou, et je le fixai également dans les yeux, neutre également et pourtant j'avais l'impression que nos visage était insensible mais que nos yeux se parlaient, communiquez différemment de ce que l'on avait pu parler normalement entre nous.

Samael:

Tendis que je me rappelais un vieux souvenir parce que je la sentais se resserrer sur moi, mon corps en réalité semblais dénuer de vie et absent d’âme, mon regard était même vide. Je secoua vivement ma tête pour revenir a la situation actuelle après quelque seconde dans cette état. 

Je me remit en marche le regard pointer sur le couloir que je traversais pour nous conduire à l'infirmerie. 

Mia: 

Le regard qu'il avait me fis froid dans le dos, je détournai alors le regard le gardant quand même sur lui, sur ses cheveux que j'aimais apparemment bien.

On se rendit donc à l'infirmerie quittant ce couloir. 

( ici piti scarabé :3>clique< )